Les Blancs, c’est essentiel

Le Blanc c’est l’absence de couleur. l’absence de graphisme. le néant.
Mais non. C’est surtout un espace vide qui permet de mieux visualiser le reste.
Penser bien à faire respirer l’œil !
Note pour plus tard : prenez aussi des pauses hors de l’ordi pour que vos yeux ne soient pas complètement asséchés !

Le Cadre et la matière

Pour composer un « visuel », nous allons avoir besoin d’un cadre. Le cadre, c’est le support.
De l’écran de smartphone à la feuille de papier, les grands principes de mise en page restent les même.
La matière, c’est ce qui nous sert à composer : les images, la typographie, les formes, les couleurs… et la texture dans une moindre mesure et surtout dans des cadres bien précis (beaux livres et finitions d’impression par exemple). Et les blancs qui sont également des éléments de graphisme à part entière.

Le Blanc

Une zone ou il n’y a rien (ni texte, ni image) / Les blancs en graphisme sont les marges mais aussi les zones de la composition ou il n’y a rien. Il faut garder en tête de traiter le blanc avec autant d’attention que le reste de la composition. Il sert à la lisibilité, à faire respirer l’œil ! Espace blanc, espace vides.
Une fois maîtrisés, les pleins et les vides, appelés également espaces négatifs, augmenteront la compréhension et la qualité de vos mises en page.

Le Blanc tournant ou les marges

Dans les logiciels de mise en page, vous pouvez régler les marges afin d’avoir un document lisible
et sympathique. Et aussi pour ne pas mettre vos mains sur du texte qui serait trop près du bord.
(à vérifier si légende urbaine ou non ?)
La marge du haut est appelé « blanc de tête » – La marge du bas s’appelle « blanc de pied« .
La marge dite intérieure se situe entre la couture et le repère et se nomme « Blanc de couture ou petit-fond »
Le « Blanc de grand-fond » se situe donc entre le bord du livre et le repère (ou marge externe).

Pensez l’espace blanc comme une matière à part entière.

L’emploi de l’espace blanc dans une composition peut-être un facteur déterminant. Son utilisation doit donc être considérée dès le départ. Je ne parle pas ici seulement ici des marges d’une page, mais également des blancs, comme partie intégrante de la mise en page, qui permettent d’encadrer, de séparer ou de soutenir, autrement dit de mettre en valeur, les éléments d’une composition. De plus, le positionnement et le contrôle de l’espace blanc guident subtilement le lecteur à travers la composition et son contenu. […] Faites différents essais de mise en page en n’utilisant qu’une seule image, vous srez surpris de voir à quel point l’espace blanc peut altérer l’humeur, le rythme et la présentation du contenu.

Tu n’utiliseras point le Comic Sans, Les 365 lois du design graphique, P.189, Dunod éditions, 2013

Espaces négatifs

En cours de rédaction

« Le blanc rend lisible ce que le noir rend visible » (source à trouver…)
« White makes readable, that which black makes visible »